LE TRANSEURASIEN
Voir Aussi : Plan de Métro de Paris 2030
LE TRANSEURASIEN
Le Transeurasien est une proposition de réseau terrestre pour connecter efficacement et à moindre coût les Eurasiens entre eux, avec les îles alentour et les autres continents. Il organise en réseau les principaux pôles et corridors économiques et démographiques de l’Eurasie.
Ce réseau transcontinental est représenté dans deux versions, une dite « de base » et une « développée » à l’aide de plusieurs types de cartes pour chaque version. Pour plus de lisibilité, il prend volontiers l’aspect d’un réseau de train ou de métro mais il concerne tous les types de transports terrestres, qu’ils soient ferroviaires, routiers, autoroutiers ou autres, existants ou à venir.
Le Transeurasien, c’est aussi une invitation à se représenter le monde différemment et une manière ludique d’aborder des questions de géopolitique mondiale. Il met en lumière la place centrale de l’Eurasie dans la géographie humaine. Par extension, il suggère que l’ordre du monde dépend de la situation en Eurasie. Une Eurasie en paix et en bonne entente ferait basculer le monde d’une prédominance d’organisation maritime à une organisation terrestre.
La dimension logique des corridors économiques et démographiques qui constituent ce réseau contraste avec la situation politique et idéologique. Pour les connaisseurs du contexte politique actuel, ce réseau devrait apparaitre de prime abord comme fantaisiste (on peut voir notamment un lien terrestre entre les deux Corées, entre la Russie et l’Ukraine, La Chine et les Etats-Unis, Israël est un lieu de passage vers l’Afrique, etc…), cependant une analyse approfondie tendrait à démontrer que ce qu’il y a de vraiment fantaisiste c’est, à l’inverse, le contexte politique et idéologique actuel au-delà duquel on s’interdit trop souvent de penser.
Ainsi, le Transeurasien sensibilise sur la nécessité et l’urgence de la paix ainsi qu’à une ouverture aux autres dans le respect mutuel. C’est un vaste et beau défi pour les générations présentes.
DESCRIPTION GÉNÉRALE
Structure du réseau
Le réseau présente des tracés rectilignes, pertinents et naturels, structurés autour des grands axes qui relient les trois plus grands pôles démographiques du monde, à savoir l’Europe de l’ouest, la péninsule indienne et l’Extrême-Orient.
Les dessertes vers les péninsules arabique et sud-est asiatique complètent l’architecture de ce réseau qui se prolonge naturellement vers l’Afrique dans un premiers temps, puis l’Océanie et les Amériques dans sa version développée. Ces extensions feraient de l’Eurasie le cœur d’un réseau terrestre désormais mondial.
Les lignes ainsi formées s’entrecroisent naturellement dans des métropoles majeures, qui selon toute vraisemblance, devraient connaître un essor considérable à moyen et long terme.
Aspects Graphiques
Le réseau transcontinental eurasien est représenté à l’aide de différents types de cartes et en deux versions, la version « de base » avec les lignes structurantes, et une version dite « développée » qui complète le réseau.
– L’aspect schématique d’un plan de métro à l’échelle du monde pour facilite sa lisibilité et permet de se l’approprier le plus rapidement possible. Cet aspect schématique et coloré n’enlève rien au sérieux du réseau présenté. Il est à remarquer que là où un plan de métro classique accentue les lignes droites et lisse les écarts entre les stations, ici à l’inverse, la représentation de type métro déforme parfois les voies très rectilignes et les intervalles entre stations pourtant très réguliers en réalité ( par exemple sur la ligne 6 : La route de la Soie ).
– Le réseau projeté sur un globe terrestre permet de mieux apprécier l’aspect rectiligne des tracés. En revanche, étant donné l’étendue du réseau, cette carte-là peine à représenter ses extrémités.
– Le troisième type de carte est une représentation sur un planisphère avec le pôle nord en sa partie centrale. Cette vue met en valeur les continents habités (c’est à dire tous sauf l’Antarctique). Elle permet aussi de mettre en valeur la dimension géopolitique et géostratégique du Transeurasien, comme nœud central du monde humain.
Quelques chiffres à propos du seul réseau de base
Dans ces grandes lignes, ce réseau transeurasien relie ainsi 775 millions d’habitants* à proximité de 160 gares dans sa version basique, à raison d’une gare tous les 400 km environ.
Rien que dans sa version basique, il dessert 51 capitales des 56 pays parcourus, et traverse 37 pays d’Asie continentale sur 41.
Ces quelques chiffres démontre la pertinence du maillage du réseau et de la disposition géographique quasi-providentielle du supercontinent car il relie l’essentiel de sa population en évitant les détours et les grands reliefs.
Philosophie du Transeurasien
Le Transeurasien s’est révélé à partir de constats et d’idées simples :
– L’humanité doit se centrer autour d’elle-même, de là où elle se trouve. Or, environ 70% de la population mondiale vit en Eurasie.
– Les guerres et les sanctions qui divisent l’Eurasie et la sépare de l’Afrique finiront par cesser.
– De la paix en Eurasie adviendra un monde humain centré sur les échanges terrestres plutôt que maritimes.
– Au delà de la paix, le respect voire l’amitié entre les pays sont souhaitables, ce type d’infrastructure incite fortement à créer et consolider une entente cordiale et durable entre tous ceux qui la partagent et en profitent directement ou indirectement.
– Les infrastructures pérennes et mesurées (quant à leur impact sur notre environnement) est ce que l’on peut laisser de mieux pour les générations à venir.
Une certaine vision
Le Transeurasien c’est la vision d’un continent libéré des guerres, des sanctions et des blocus, respectueux des souverainetés des peuples qui le composent indépendamment de leurs idéologies, leurs religions, leurs cultures, de leur vues politique ou de celles de leurs dirigeants. Un continent qui se recentre sur lui-même et sur sa place dans le monde, se pense en tant qu’ensemble géographique et s’imposerait alors humblement comme le centre naturel du monde humain.

Le réseau Transeurasien dans sa version de base
PLUS DE PRÉCISIONS
Précisions philosophiques :
Le Transeurasien promeut les échanges possibles et non les échanges à outrances. Les échanges qui enrichissent en partageant, non ceux qui effacent et détruisent. Les échanges profitant directement au plus grand nombre, et indirectement à tous. Il concerne tous les types d’échanges terrestres, de biens ou de personnes, du plus lent au plus rapide, aussi bien un transport par ânes ou brouettes, qu’un moyen de transport qui fuserait à plusieurs fois la vitesse du son !
Dans le cadre de la paix qu’il propose, le Transeurasien prône logiquement la richesse apportée par les différences, les différentes langues et cultures, les différentes religions et civilisations, dans l’humilité et l’ouverture, dans leur totalité et sans hiérarchie.
Précisions géographiques :
Les tracés du réseau exagérément rectilignes, ainsi que les intervalles entre-stations arbitrairement réguliers, sont des choix délibérés pour démontrer tout le potentiel d’un tel réseau. Malgré ces contraintes extrêmes, le réseau est d’une grande pertinence et cela démontre que la géographie de l’Eurasie s’y prête à merveille, l’essentiel de sa population pouvant être reliée en seulement quelques lignes droites qui évitent les obstacles naturels ! Les tracés définitifs des routes les plus coûteuses ainsi que les intervalles entre les grandes gares seraient évidemment légèrement différents dans la réalité et soumis à des études poussées. Il est important de rappeler ici que ce réseau concerne aussi bien les routes (dont les usagers s’arrêtent où ils veulent), les autoroutes et les voies ferrés de toutes tailles. Ce réseau continental serait évidemment relié aux réseaux plus locaux.
Réseau de base représenté sur un globe terrestre
Variantes
Comme tous projets de routes, le Transeurasien prévoit des variantes qui ne sont pas représentées ici par souci de lisibilité. Les observateurs les plus attentifs auront remarqué une légère différence des tracés entre les versions de base et développée, laissant ainsi apparaître quelques unes des variantes possibles. Chaque tronçon demandera naturellement des études poussées pour déterminer le tracé définitif. Ainsi, tel qu’évoqué dans le chapitre précédent, le lecteur ne doit pas se formaliser sur les tracés présentés ici ainsi que sur le nombre et la régularité des « gares » entre elles.
Le Transeurasien et les autres grands projets de voies de communications.
Il existe trois grands projets de réseaux de routes en Eurasie, un chinois, un ouest-européen et un états-unien. Ces trois projets apparaissent limités par rapport au Transeurasien, tant dans leur dimension géographique que politique.
Build Back Better World (Etats-Unis)
– Le projets états-unien n’a pas pour but de relier le maximum des populations eurasiatiques, au contraire il s’efforce d’en tenir certaines à l’écart, et pas des moindres (Chinois, Russes, Iraniens). En cela, son principe est contraire à celui du Transeurasien. La nécessité de s’unir est un principe fondamental du transeurasien, tandis que le Build Back Better World a pour but de diviser.
Global Gateway (Union Européenne)
– Le projet ouest-européen paraît très limité puisqu’il ne concerne que l’Europe de l’ouest et centrale, évitant soigneusement la Russie et la Biélorussie pour des raisons politiques malgré la pertinence économique de relier ces grands ensembles entre eux. Plutôt que de contenter tout le monde, ce projet coûteux place ses acteurs en concurrence et relie un ensemble bien trop homogène pour créer des dynamiques.
Ces deux projets sont en somme des projets de division, il n’en sont qu’à leur balbutiement compte tenu de leur coût élevé et de l’empressement de leurs acteurs à financer massivement, en priorité, les guerres.
Nouvelles Routes de la Soie (Chine)
– Le projet chinois est le plus abouti et le plus similaire à celui du Transeurasien mais présente tout de même quelques différences fondamentales : Le projet des Nouvelles Routes de la Soie s’efforce de composer avec les conflits en cours, tandis que le Transeurasien propose de s’en affranchir. La plus grande différence réside dans le fait que l’Europe de l’ouest est très représentée dans le projet Transeurasien, alors qu’il n’est qu’un terminus plus ou moins abstrait dans le projet chinois. Les Nouvelles Routes de la Soie est un projet uniquement sino-centré et n’a pas pour vocation à relier le plus grand nombre de populations d’Eurasie, ni de mailler l’immense territoire eurasiatique comme le fait le Transeurasien. Ce dernier possède plusieurs centres et prétend pouvoir séduire tous les Eurasiens.

La même représentation réinterprétée par une intelligence artificielle.
Matériel utilisé
Tel qu’explicité en préambule, le matériel utilisé n’est pas déterminant, les tracés empruntés et la pacification du continent constituent le cœur du concept du Transeurasien.
Toutefois, ce projet se voulant ambitieux, il a été imaginé et présenté tel un réseau de train à grande vitesse.
Sur deux tronçons du réseau, de Tokyo à Nagoya, ainsi qu’entre Pékin et Shanghai, des lignes de trains à sustentation magnétiques sont actuellement en construction. À terme, la mise sous vide partiel de ces voies permettrait de dépasser largement la vitesse de croisière des avions, ce qui remplacerait ce dernier et permettrait des allers et retours en n’importe quels points du réseau dans la limite d’une journée.
DESCRIPTION DÉTAILLÉE
Ligne 1 : L’Eurasienne
Premier tronçon du nouveau réseau, cette ligne relie le pôle démographique européen au pôle démographique chinois.
Entre ces deux pôles, les grandes villes disposées en ligne droite au milieu d’une région peu peuplée ponctuent cette voie très directe.
Variante moderne et prolongée du Transsibérien, elle traverse l’Eurasie de part en part, de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique.
A Madrid, Une bifurcation est envisagée vers l’Afrique via le détroit de Gibraltar.
Pour son importance et son caractère fondateur dans le réseau, sa couleur est le rouge.

Ligne 2 : La Forestière
Elle relie l’Europe à la péninsule indochinoise en passant par la vallée du Gange en contrebas de l’Himalaya, et en intégrant la péninsule scandinave au réseau.
Elle s’étend de la mer Baltique à l’océan Pacifique via la mer de Chine Méridionale avec un accès à l’océan Indien.
Sur ses trente gares, quatorze sont des capitales administratives, c’est un axe politique majeur.
Elle fait le lien entre les forêts tempérées et les forêts tropicales, sa couleur est le vert.

Ligne 3 : La Maritime
Cette ligne relie l’ancien pôle démographique mondial, le sous-continent européen, au futur, le sous-continent indien.
Elle traverse l’Eurasie de l’océan Atlantique à l’océan Indien.
De Londres à Chennai, le tracé rectiligne vient lécher les mers Noire, d’Azov et Caspienne.
Une voie pourrait desservir l’extrême sud de la péninsule indienne puis traverser le Pont d’Adam pour atteindre Colombo sur l’île de Ceylan.
Une prolongation vers l’ouest jusqu’à Dublin est envisagée dans sa version développée.
Autrefois voie maritime importante qui reliait le Royaume-Uni à l’Inde, elle touche trois mers et deux océans, sa couleur est le bleu.

Ligne 4 : La Moyenne-Orientale
Elle relie l’Europe aux nouveaux pôles dynamiques du golfe Persique.
Gare importante de la ligne, Istanbul, la plus grande ville d’Europe, est également une porte de sortie naturelle et logique de l’Europe vers l’Asie.
En quittant l’Europe par le détroit du Bosphore de manière rectiligne, la voie suit le cours de l’Euphrate jusqu’à son embouchure puis se prolonge jusqu’à l’extrémité est de la péninsule arabique.
9 de ses 16 gares sont des capitales administratives.
Bravant un désert de sable dans la fin de sa course, sa couleur est l’orange.

Ligne 5 : La Proche-Orientale
Elle vient parfaire la connexion de l’Europe avec la péninsule arabique en sa partie ouest.
Elle offre également un autre accès à l’Afrique en franchissant la mer Rouge au niveau du détroit de Bab-El-Mandeb.
Elle pourrait être prolongée au nord jusqu’à Moscou.
La ligne traverse des lieux chargés d’histoire et de culture, notamment la vallée du Jourdain, La Mecque et l’historique Route de l’Encens.
Pour la densité du patrimoine qu’elle traverse et pour l’abondance de l’Afrique à laquelle elle donne accès, sa couleur est le violet foncé.

Ligne 6 : La Route De La Soie
Elle relie le coeur de la Chine à l’Afrique.
En traçant une ligne droite de Pékin jusqu’à l’isthme de Suez pour atteindre l’Afrique, une voie naturelle se dessine passant entre deux grands déserts, deux grands lacs et deux grandes chaînes de montagnes coupant toutes les autres lignes transeurasiennes par toutes les étapes majeures d’Asie centrale.
Le tracé de cette ligne correspond en grande partie à celui de la principale route de la soie historique.
Le seul accès terrestre de l’Eurasie vers l’Afrique donne directement sur sa plus grande ville, Le Caire, et aux multiples richesses du Nil.
Une prolongation à l’est vers le Japon via Pékin et les deux Corées pacifiées serait très pertinente.
Une prolongation en ligne droite vers l’ouest peut être envisagée jusqu’à Lagos, la ligne desservirait ainsi les deux plus grandes villes d’Afrique.
Pour son importance, tant dans l’Histoire qu’ici avec son rôle de colonne vertébrale du Transeurasien, sa couleur est le rose fuchsia.

Ligne 7 : La Sibérienne
Dédoublement ou variante de la ligne 1.
En tant que dédoublement, elle permettrait de connecter de vastes régions au réseau.
En tant que variante, elle propose un trajet un peu moins direct mais plus peuplé pour relier Paris à Pékin.
Elle passe par Irkoutsk qui pourrait être le point de départ d’une ligne 14 qui rejoindrait Vladivostok en ligne droite en passant par Harbin.
Pour les forêts de conifères que traverse cette ligne, sa couleur est le vert foncé.

Ligne 8 : La Pacifique
Elle boucle le réseau en y connectant la florissante façade maritime chinoise.
La ligne passe par les deux cœurs économiques du pays que sont Shanghai et la mégalopole cantonaise.
Un prolongement propose d’atteindre l’Océanie via les îles de Singapour, Sumatra, Java et Bali.
Pour son tracé longeant en grande partie les mers de Chine, sa couleur est le bleu foncé.

Ligne 9 : L’Amérindienne
Elle rapproche la Chine qui est le plus grand pôle démographique et économique actuel, à l’Inde qui est présenté comme étant le futur.
Elle rapproche l’actuel au futur pôle démographique et économique mondial, la Chine et l’Inde.
Cette ligne représente le plus grand défi technique pour les hautes chaînes de montagnes du Sichuan qu’elle doit franchir.
Compte tenu des enjeux concernant les rapports entre les deux géants, les efforts peuvent être fournis.
D’autant plus qu’une ligne droite de Pékin à la péninsule indienne, traverse les chaînes montagneuses du Sichuan en leur partie la plus mince, là où les sommets sont bien moins hauts que plus au nord.
Pour l’Inde et la Chine, cette ligne permet de parfaire leurs connexions au réseau, tant au niveau national, qu’au niveau eurasiatique.
En la prolongeant, cette ligne droite nous mène jusqu’à Seattle en Amérique du Nord via le détroit de Béhring, reliant ainsi par voie terrestre tous les continents habités, l’Eurasie devenant ainsi le centre du monde terrestre.
Contrairement aux premiers peuples d’Amériques qui n’ont rien à voir avec l’Inde, cette ligne mérite son nom d’Amérindienne.
Pour son ingéniosité, son audace et pour le froid glacial de certains paysages traversés, sa couleur est le violet clair.

Lignes 10 et 11 : La Montagnarde et la Fluviale
Elles tissent un réseau plus serré sur la Chine en y intégrant les très grandes villes de Chongqing et et de Wuhan, et viennent ainsi parfaire la connexion de ce pays avec le reste du monde, ainsi que ses connexions intérieures.
La ligne 11 suit le cours du Yang Tse sur toute sa longueur.

Ligne 12 : L’Asiafricaine
Les franchissements des détroits d’Ormuz et de Bab-El-Mandab créeraient un passage très direct et très intéressant de l’Asie vers l’Afrique.
La ligne parcourt la très peuplée vallée de l’Indus. Elle offre ainsi un réseau très complet au Pakistan et améliore la connexion entre les lignes 2 et 3.

Ligne 13 : L’Occidentale
Perpendiculaire aux lignes 1 et 3, elle suit dans ses grandes lignes la Dorsale Européenne ( le corridor démographique européen qui s’étend de la Vallée du Rhin à la plaine du Pô) , cœur démographique de l’Europe, et se prolonge dans la péninsule italienne puis vers Palerme en Sicile. Prolongée encore, elle peut offrir un quatrième accès à l’Afrique par un tunnel sous la mer Méditerranée de près de 145 kilomètres de long.

Ligne 14 : La Nordique
Son tracé est très similaire à la très ancienne ligne de chemin de fer Baïkal-Amour-Magistrale, antérieure au Transsibérien.
En ligne droite d’Irkoutsk à Vladivostok, Elle passe par les grandes villes chinoises de Qiqihar et de Harbin.
Elle raccourcit le voyage entre les Européens et les Américains du Nord.

Ligne 15 : La Transeuropéenne
Elle relie les deux plus grandes villes d’Europe, Istanbul et Moscou.
Prolongée vers le sud jusqu’en Italie en franchissant la mer Adriatique, elle rejoindrait la ligne 13 et offrirait un accès intéressant vers l’Afrique.

Ligne 16 : L’Indienne
La ligne améliore les connexions intérieures à l’Inde et celles de ce pays avec les autres parties du monde.
Elle dessert le Sri Lanka par le Pont d’Adam.

contact : Noé BELLU
neopurpink@hotmail.com